Vincent Chambon , dirigeant de l'entreprise Pixymedia. |
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Bonjour Vincent, vous êtes dirigeant de l'entreprise Pixymedia depuis combien de temps ? Combien de salariés avez-vous ? Où se trouve votre entreprise ?
Je suis photographe indépendant depuis 2014, j’exerce cette activité seul avec de nombreux partenaires pour couvrir les différents domaines de compétences liés à la création de supports image, vidéaste, webmaster, second photographe...
Depuis quelques mois, je suis installé dans un studio au 31 avenue Charles de Gaulle à Montbrison.
Dites-nous en plus sur votre cursus professionnel ?
Après des études de photographie sur Paris, j’ai travaillé comme assistant dans un studio mode parisien pendant plusieurs années. Une première reconversion
professionnelle m’a entraîné vers la formation pour adultes. J’ai pratiqué l’animation de groupe et l’ingénierie de formation avant de revenir à mes amours premiers: la photographie... par la porte des métiers cette fois !!
Quelle est l’activité principale de votre entreprise ?
Je pratique la photographie corporate destinée à illustrer les hommes, les compétences, les produits et services des entreprises avec la volonté de construire une image de marque vivante pour l’entrepreneur et de l’accompagner dans ses démarches en communication.
Travaillez-vous pour des particuliers, des entreprises, ou bien alors les deux ?
Le cœur de l’activité est à destination des entreprises mais je développe également une activité de photographie scolaire avec vente en ligne. Une partie de la production se retrouve sur le frigo des familles :). Depuis l’ouverture du studio à Montbrison, le projet d’une offre portrait fine art pour particulier est à l’étude, a suivre...
D’après vous, votre entreprise dispose t’elle de plus-value (différentiations) par rapport à la concurrence ? si oui , la ou lesquelles
Sans aucun doute, l’expertise de l’image ! Plusieurs années d’expérience m’ont amené à comprendre les besoins de communication des clients, à comprendre les
demandes et à apporter des solutions techniques. La maîtrise de la lumière est prépondérante dans mon travail et permet de construire des visuels attractifs.
Avez-vous eu une prestation, un projet , une mission dont vous êtes le plus fier ?
Quand on exerce un métier passion, chaque prestation est un accomplissement mais si je devais en mettre une en avant une plutôt que d’autres, à la sortie de cette période sanitaire compliquée, c’est la prestation pour la clinique du Forez, groupe Elsan, qui m’a permis d’illustrer et de mettre en avant le travail des soignants.
Pourquoi avez-vous adhéré à For Act ?
Parce que la bonne connaissance de son environnement permet d’apporter des réponses toujours plus concrètes. Il s’agit pour moi de me tenir informé sur le secteur économique de notre territoire.
Pour finir sur une note d’humour, avez-vous une anecdote amusante à nous raconter ?
Lors d’une prestation pour CulturEspaces, société gestionnaire des Arènes de Nîmes, j’ai traversé la piste avant le spectacle pour rejoindre ma zone de prises de
vues. Je n’avais pas pris conscience que 20.000 spectateurs galvanisés par le soleil m’attendaient. Arrivé au centre, sous les hurlements, j’ai levé mes deux
appareils au ciel... Une immense hola de plusieurs minutes s’est enclenchée. On m’a ensuite proposé une carrière de gladiateur que j’ai déclinée, toujours plus courte que celle de photographe !
Je suis photographe indépendant depuis 2014, j’exerce cette activité seul avec de nombreux partenaires pour couvrir les différents domaines de compétences liés à la création de supports image, vidéaste, webmaster, second photographe...
Depuis quelques mois, je suis installé dans un studio au 31 avenue Charles de Gaulle à Montbrison.
Dites-nous en plus sur votre cursus professionnel ?
Après des études de photographie sur Paris, j’ai travaillé comme assistant dans un studio mode parisien pendant plusieurs années. Une première reconversion
professionnelle m’a entraîné vers la formation pour adultes. J’ai pratiqué l’animation de groupe et l’ingénierie de formation avant de revenir à mes amours premiers: la photographie... par la porte des métiers cette fois !!
Quelle est l’activité principale de votre entreprise ?
Je pratique la photographie corporate destinée à illustrer les hommes, les compétences, les produits et services des entreprises avec la volonté de construire une image de marque vivante pour l’entrepreneur et de l’accompagner dans ses démarches en communication.
Travaillez-vous pour des particuliers, des entreprises, ou bien alors les deux ?
Le cœur de l’activité est à destination des entreprises mais je développe également une activité de photographie scolaire avec vente en ligne. Une partie de la production se retrouve sur le frigo des familles :). Depuis l’ouverture du studio à Montbrison, le projet d’une offre portrait fine art pour particulier est à l’étude, a suivre...
D’après vous, votre entreprise dispose t’elle de plus-value (différentiations) par rapport à la concurrence ? si oui , la ou lesquelles
Sans aucun doute, l’expertise de l’image ! Plusieurs années d’expérience m’ont amené à comprendre les besoins de communication des clients, à comprendre les
demandes et à apporter des solutions techniques. La maîtrise de la lumière est prépondérante dans mon travail et permet de construire des visuels attractifs.
Avez-vous eu une prestation, un projet , une mission dont vous êtes le plus fier ?
Quand on exerce un métier passion, chaque prestation est un accomplissement mais si je devais en mettre une en avant une plutôt que d’autres, à la sortie de cette période sanitaire compliquée, c’est la prestation pour la clinique du Forez, groupe Elsan, qui m’a permis d’illustrer et de mettre en avant le travail des soignants.
Pourquoi avez-vous adhéré à For Act ?
Parce que la bonne connaissance de son environnement permet d’apporter des réponses toujours plus concrètes. Il s’agit pour moi de me tenir informé sur le secteur économique de notre territoire.
Pour finir sur une note d’humour, avez-vous une anecdote amusante à nous raconter ?
Lors d’une prestation pour CulturEspaces, société gestionnaire des Arènes de Nîmes, j’ai traversé la piste avant le spectacle pour rejoindre ma zone de prises de
vues. Je n’avais pas pris conscience que 20.000 spectateurs galvanisés par le soleil m’attendaient. Arrivé au centre, sous les hurlements, j’ai levé mes deux
appareils au ciel... Une immense hola de plusieurs minutes s’est enclenchée. On m’a ensuite proposé une carrière de gladiateur que j’ai déclinée, toujours plus courte que celle de photographe !
